A Genève, sur plus de 700 enfants placés, plus de 350 le sont de manière abusive

Des avocats en droit de la famille s’insurgent contre les méthodes du  Service de protection des mineurs et les expertises psychiatriques.  Ceux-ci conduiraient trop souvent à priver les enfants d’un de ses  parents, par parti pris éducatrice.

 A Genève, un collectif de parents ayant perdu la garde de leur enfant  suite à une expertise psychiatrique alerte sur de possibles  dysfonctionnements du Centre Universitaire Romand de médecine légale.  Une médecin des HUG a fait l'objet d'une enquête.

Le député socialiste Cyril Mizrahi estime que le Service de protection des mineurs est trop radical dans le placement des enfants ou le retrait du droit de garde, lors des séparations conflictuelles. Ses pistes de réflexion pour éviter que la machine étatique ne broie les personnes médecine légale. Une médecin des HUG a fait l'objet d'une enquête.

Neuf adultes dont quatre policiers ont mené à l’hospitalisation d’un garçon en détresse. Cette violence choque sa mère. 

Pareil, mêmes méthodes que le DGEJ sur Vaud, OPE en Valais ou le SPMI a  Genève. Les services dits de la "protection" de l'enfance abusent de leur pouvoir.

A 16 ans, une Genevoise est menacée de placement, alors qu’elle veut  continuer à vivre chez son père. Au motif que celui-ci aurait aliéné la  mère aux yeux de ses enfants. Témoignage 

Une réforme est en cours pour améliorer le fonctionnement du Service de  la protection des mineurs (SPMI). La question des expertises n’est pas  réglée. 

La comédienne de 64 ans en veut au juge d’avoir posé les mauvaises questions à son enfant. 

Si le système fonctionne parfaitement, aucun acte répréhensible ne devrait être

identifié. Au contraire, si des actes répréhensibles ou des dysfonctionnements sont

identifiés, ce dispositif devrait contribuer à amender le système et

apporter des solutions pour contribuer à en faire un système pleinement respectueux des

droits humains des enfants et des parents.

 Une  fillette a été placée en foyer quelques jours après sa naissance au  CHUV. Depuis sept mois, sa mère ne peut la voir qu’une heure et demie  par semaine, sous la surveillance d’une éducatrice.

Cette  année, une hausse de 54% des hospitalisations sociales est constatée  par le Service de protection des mineurs. Elle concerne surtout les  bambins de 0 à 2 ans.

Après le placement polémique d'un bébé vaudois, 23 personnalités de premier plan, dont l'ancien conseiller aux États libéral Eric Rochat, exhortent les autorités à revoir leur copie. Tribune. 

Une association s'apprête à être constituée pour défendre les intérêts des familles et trouver des fonds pour financer des avocats.

RAPTS A REPETITIONS   Enlevé à sa famille «grâce» aux rapports du Service de protection des mineurs, un enfant se laisse mourir de faim. Et pour ses autres frères, ce n’est pas mieux. 

À la suite du décès d’une jeune fille de 14 ans placée dans un centre d’accueil, une marche blanche est annoncée à Sion en son souvenir ce vendredi. Pour dénoncer également des placements, qui seraient  «abusifs». 

Une jeune fille de 17 ans placée dans un foyer de la Fondation Cité Printemps est décédée début janvier, a appris Blick. Le Ministère public valaisan ouvre une instruction contre deux adultes pour omission de prêter secours et remise de stupéfiants à des mineurs. 

La Confédération a reçu jusqu'ici moins de demandes d'indemnisations pour les enfants placés de force que prévu. Le Parlement a dégagé l'an dernier une enveloppe de 300 millions de francs pour les victimes. 

Des milliers d'enfants sont placés dans ce pays de la Convention de Genève sans respecter le droit fondamental des enfants à s'exprimer et participer aux décisions les concernant.  

29.03.2021

Kimberley s'est donné la mort le 14 mars dernier à Marseille. Elle était  placée en foyers et familles d'accueil depuis sa naissance. Ce drame  met à nouveau en lumière les drames humains qui se cachent derrière la  politique d'aide sociale à l'enfance. 

01.07.2022

Un mois après le décès par pendaison de sa fille de 10 ans dans un foyer  de l’aide à l’enfance de Paris, sa mère confie sa tristesse et ses  nombreuses interrogations sur ce drame qui reste encore inexpliqué. 

29.08.2023

Depuis une décennie, les services norvégiens de protection de l’enfance, plus familièrement appelés Barnevernet, sont au cœur d’une controverse à cause de leur pratique visant à séparer les enfants de leurs parents. Cette pratique, largement répandue et vivement critiquée par la communauté internationale, ne se limite pas à un groupe particulier puisqu’elle concerne souvent les individus les plus vulnérables de la société norvégienne, comme les mères célibataires et les immigrants. De  plus, des données préoccupantes révèlent qu’à partir de la fin de  l’année 2016, un nombre impressionnant d’enfants et jeunes, soit 15 820, ont été séparés de leur parents précisément par les services du  Barnevernet (Skanland H. M. 2018).