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Expérience de Asch, à lire sur Wikipédia

L'expérience de Asch,

publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d'un individu au sein d'un groupe 

Description de l'expérience

En 1951, Asch invite dans son laboratoire un groupe d'étudiants (entre 7 et 9) de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision auquel ont été soumis  auparavant des sujets témoins qui n'ont eu aucun mal à donner la bonne  réponse. Tous les participants sont complices de l'expérimentateur, sauf  un. L'expérience a pour objet réel d'observer comment cet étudiant (le  sujet « naïf ») réagit au comportement des autres.  

Les complices et le sujet

sont assis dans une pièce et on leur demande  de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série  d'affiches. À gauche, une ligne modèle, et à droite, 3 autres lignes. Chacun doit dire laquelle de ces 3 lignes sur la droite est égale en longueur à la ligne de gauche.  Ce que ne sait pas le sujet, c'est que, peu avant que l’expérience ne  commence, l’expérimentateur a donné des instructions aux complices : au  début, c'est-à-dire aux 6 premiers essais, ils doivent donner la bonne réponse, mais lors des suivants, ils doivent donner unanimement une même fausse réponse.  Le sujet « naïf » est l’avant-dernier à répondre. Asch reconnait que  celui-ci est surpris des réponses énoncées par ses acolytes. Au fur et à mesure des essais, il devient de plus en plus hésitant sur ses propres réponses.  

Expérience de Milgram, à lire sur Wikipédia

L’expérience de Milgram

est une étude de psychologie sociale menée par Stanley Milgram en 1963. Elle a pour but d’étudier le comportement humain face à l’autorité et la soumission à celle-ci, et consiste à tester la capacité des  individus à obéir, même si cela implique d’infliger des souffrances à  autrui. L'expérience a suscité de nombreux commentaires dans l’opinion publique, ainsi que dans le milieu de la psychologie et de la philosophie des sciences, et a inspiré de nombreuses œuvres de fiction ou de télévision.  

Déroulement de l'expérience

Entre 1960 et 1962, l'équipe du professeur Milgram fait paraître des  annonces dans un journal local pour recruter les sujets d'une apparente  expérience sur l'apprentissage. La participation dure 1 heure et est  rémunérée 4 dollars, plus 50 cents pour les frais de déplacement, ce qui représente à l'époque une bonne  somme, étant donné que le revenu mensuel moyen en 1960 est de  100 dollars2. L'expérience est présentée comme une étude scientifique de l'efficacité de la punition sur la mémorisation.  

La majorité des variantes de l'expérience

a lieu dans les locaux de l'université Yale (New Haven, Connecticut).  Les participants sont des hommes et des femmes de 20 à 50 ans, issus de  tous les milieux et avec différents niveaux d'éducation. L'expérience  telle que présentée met en jeu trois personnages : 

  • un élève (learner), qui s'efforce de mémoriser des listes de mots et reçoit une décharge électrique en cas d'erreur ;
  • un enseignant (teacher),  qui dicte les mots à l'élève et vérifie les réponses. En cas d'erreur,  il envoie une décharge électrique destinée à faire souffrir l'élève ;
  • un expérimentateur (experimenter), qui représente l'autorité officielle, vêtu d'une blouse grise de technicien, et sûr de lui.

L'expérimentateur et l'élève sont en réalité deux comédiens. 

Expérience de Rosenhan, à lire sur Wikipédia

En psychologie, l’expérience de Rosenhan,

menée par le psychologue David Rosenhan en 1973, porte sur la validité du diagnostic psychiatrique. Son étude a été publiée dans la revue Science sous le titre « On Being Sane in Insane Places » (« Être sain dans des lieux qui ne le sont pas »). Elle est considérée comme une critique importante et influente des diagnostics psychiatriques, d'où sa renommée.  

L'étude de Rosenhan est composée de deux parties. La première

implique la participation d'associés en bonne santé mentale, les « pseudo-patients », qui simulent des hallucinations auditives brèves dans le but d'être admis dans douze hôpitaux psychiatriques des États-Unis, répartis dans cinq États différents du pays. Ils ont  tous été admis et reconnus souffrant de désordres psychiatriques. Après  leur admission, ils agissent normalement et déclarent au personnel  soignant qu'ils se sentent bien, et n'ont plus d'hallucination du tout.  Le personnel de l'hôpital échoue dans chaque cas à détecter la  supercherie, et reste au contraire persuadé que tous les pseudo-patients  montrent les symptômes d'une maladie mentale.   

La seconde partie

consiste à demander au personnel d'un hôpital  psychiatrique d'identifier de faux patients dans un groupe qui n'en  comporte pas. Le personnel soignant détecte faussement comme imposteurs  un grand nombre de vrais malades.  

La conclusion

de l'étude est que les humains ne peuvent pas distinguer  les personnes saines des personnes atteintes de pathologies mentales  dans les hôpitaux psychiatriques. Elle illustre également les dangers de  la déshumanisation et de l'étiquetage dans les établissements psychiatriques. L'étude  suggère de remettre en cause la nature du diagnostic porté par les  personnels de santé dans les hôpitaux psychiatriques, en prenant en  compte les effets induits de l’institution sur les sujets concernés.  

Expérience de Stanford, à lire sur Wikipédia

L’expérience de Stanford

(parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique.  

Elle fut réalisée avec des étudiants

qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de  personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer  que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à  l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de  l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et  leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers  leur avaient été assignés de manière ostensiblement aléatoire. En  d'autres termes, chaque participant savait que l'attribution des rôles  n'était que le simple fruit du hasard et non pas de prédispositions  psychologiques ou physiques quelconques. Un gardien aurait très bien pu  être prisonnier, et vice-versa.  

Les prisonniers et les gardes se sont rapidement adaptés

aux rôles qu'on  leur avait assignés, dépassant les limites de ce qui avait été prévu et  conduisant à des situations réellement dangereuses et psychologiquement  dommageables. L'une des conclusions de l'étude est qu'un tiers des  gardiens fit preuve de comportements sadiques, tandis que de nombreux  prisonniers furent traumatisés émotionnellement, deux d'entre eux ayant même dû être retirés de l'expérience avant la fin1.  

Malgré la dégradation des conditions

et la perte de contrôle de l'expérience, une seule personne (Christina Maslach)  parmi les cinquante participants directs et indirects de l'étude  s'opposa à la poursuite de l'expérience pour des raisons morales. C'est  grâce à celle-ci que le professeur Zimbardo prit conscience de la  situation et fit arrêter l'expérience au bout de six jours, au lieu des  deux semaines initialement prévues1.  

Impuissance acquise, à lire sur Wikipédia

L’impuissance apprise (impuissance acquise ou résignation acquise)

est un sentiment d'impuissance permanente et générale qui résulte du  vécu d'un animal ou d'un humain. Ce sentiment est provoqué par le fait  d'être plongé, de façon durable ou répétée, dans des situations  (factuellement nuisibles, mais aussi bénéfiques) sur lesquelles  l'individu ne peut agir et auxquelles il ne peut échapper. L’impuissance  apprise se rapproche de la dépression, de l’anxiété, et  du désespoir, et est corrélée à ces types de souffrances psychiques1 

Définition

Il s'agit d'un état psychologique,  résultat d'un apprentissage dans lequel le sujet fait l'expérience de  son absence de maîtrise sur les événements survenant dans son  environnement (peu importe que l’événement soit bénéfique ou nuisible). 


Cette expérience tendrait à l'adoption par le sujet, animal ou humain,  d'une attitude résignée ou passive. Cette impuissance est « apprise »  car elle se généralise même aux classes de situations dans lesquelles  l'action du sujet aurait pu être efficace.  

Histoire

Le concept d'impuissance apprise a été proposée en 1972 par Martin Seligman, professeur de psychologie expérimentale suivant une théorie de l'impuissance apprise et a été par la suite reformulée avec l'aide d'Abraham et de Teasdale en 1978 sous le terme d’« attribution et impuissance apprise ». Cette théorie a finalement été révisée et complétée par Abramson, Metalsky et Alloy, en 1989, sous le terme de « théorie de manque d'espoir ou de désespoir ».

Vidéos Youtube

L'Expérience de Stanford dite de "Lucifer" (2001) Bande annonce française

L'Expérience de Stanford dite de "Lucifer" (2001) Bande annonce française

L'Expérience de Stanford dite de "Lucifer" (2001) Bande annonce française

De Oliver Hirschbiegel, avec Edgar Selge, Moritz Bleibtreu. Das Experiment-French Trailer. 

THE EXPERIMENT (Remake USA 2010)

L'Expérience de Stanford dite de "Lucifer" (2001) Bande annonce française

L'Expérience de Stanford dite de "Lucifer" (2001) Bande annonce française

 26 men are chosen to participate in the roles of guards and prisoners in a psychological study that ultimately spirals out of control.  Director: Paul T. Scheuring Writers: Paul T. Scheuring, Mario Giordano, Christoph Darnstädt Stars: Adrien Brody, Cam Gigandet, Forest Whitaker 

Vidéos au sujet de ces expériences

Le conformisme social / Expérience de Asch

Le conformisme social / Expérience de Asch

Le conformisme social / Expérience de Asch

Découvrons l’expérience de Asch et les enseignements que l’on peut en tirer  

L'Expérience de Milgram

Le conformisme social / Expérience de Asch

Le conformisme social / Expérience de Asch

L'expérience de Milgram est une expérience de psychologie visant à étudier la soumission à l’autorité.  Jusqu’où pouvons-nous aller par obéissance ? 

L'expérience de Rosenhan

Le conformisme social / Expérience de Asch

Qu'est-ce que l'effet Lucifer ? - L'expérience de Stanford -

Extrait de "LES DÉBATS Martin Blachier vs Idriss Aberkane" 

Qu'est-ce que l'effet Lucifer ? - L'expérience de Stanford -

Qu'est-ce que l'effet Lucifer ? - L'expérience de Stanford -

Qu'est-ce que l'effet Lucifer ? - L'expérience de Stanford -

XP est un format d'émission court qui traite d'expérimentations ayant eu un impact important sur les sciences sociales. L'objet de cette émission est d'expliquer le déroulement de ces expérimentation, de souligner les concepts qu'ils soulèvent et d'apporter un œil critique sur leurs conclusions. 

La Résignation (Impuissance Acquise)

Qu'est-ce que l'effet Lucifer ? - L'expérience de Stanford -

La Résignation (Impuissance Acquise)

Présentation de Marion MARTINELLI, psychologue 

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